12 novembre 2010
Le Grosplantitiou et son Politburo
J’ai fait un article définitif sur ma grande passion existentielle : la télé-réalité (avec du Qui veut épouser mon fils ? dedans et une url qui vous fera baver de plaisir). Et normalement, ce soir, je vais essayer de live-bloguer Qui veut épouser mon fils ? mais c’est un peu comme le saut en parachute et les bulletins météos, on sait jamais ce qui peut se passer…
EDIT : j’ai fini mon live-bloguing, chuis crevée. C’était ICI. Un peu compliqué à gérer mais bon… je ferai plus mieux la prochaine fois.
« Le Comité Central du PCUS et plus particulièrement son Bureau Politique, donnait les lignes générales de la planification. Le Politburo déterminait la direction générale de l’économie sur la base des indicateurs de contrôle (objectifs préliminaires), des projets d’investissement majeurs, et de la politique économique générale. Ces directives étaient soumises comme rapport du Comité Central au Congrès du PCUS pour y être approuvées. »
J’imagine assez bien que pour la majorité d’entre vous, ça, c’est juste du texte chiant. En fait, non. Je suis incapable de concevoir que ça ne vous fasse pas frétiller de bonheur. Ce texte, extrait de la description de la planification soviétique sur Wikipédia, me procure un sentiment de satisfaction intense, me plonge dans des transes névrotiques. C’est comme du miel au nutella qui coulerait dans ma bouche.
Ce que j’y vois, moi, c’est tout simplement une philosophie de vie. Ma philosophie de vie.
« Titiou et plus particulièrement son Bureau Politique, donnait les lignes générales de la planification. Le Politburo de Titiou déterminait la direction générale de la vie sur la base des indicateurs de contrôle (objectifs préliminaires), des projets d’investissement majeurs, et de la politique existentielle générale. Ces directives étaient soumises comme rapport de Titiou à Titiou pour y être approuvées. »
« Le GosplanTitiou définissait des objectifs et les transmettait aux aires du cerveau concernées, qui détaillaient les parties du plan correspondantes et diffusaient les données à la volonté (besoins en main d’œuvre, en matières premières telles que le sommeil, la nourriture et le sexe, agenda de production, budget moyen, progression possible du budget, besoins émotionnels, respect régulier de la liste des trucs à faire au moins une fois dans sa vie). Les planificateurs effectuent des enquêtes régulières pour connaître les besoins de Titiou. Le plan peut être révisé chaque année, en fonction des résultats. »
*Etudiants en psychiatrie, bonjour! Je serai ravie de répondre à vos questions et me tiens à votre entière disposition*
La planification, ça m’a prise toute petite avec la passion des listes. Plus tard, quand je suis devenue folle intelligente j’ai découvert que je pouvais faire une liste des listes à faire : une méta-liste. Par exemple, sur une liste de choses hyper importantes à faire de toute urgence, je pouvais écrire :
– me remettre au sport [ouais, c’est toujours se remettre, on écrit jamais se mettre au sport]
– réfléchir à ma vie : envie, besoin, où j’en suis, ce que je veux
– manger du jus du carotte.
Ca, c’est donc typiquement une méta-liste. Du coup, au meilleur de ma névrose, je pouvais faire une liste des trucs à faire dans la journée (histoire d’organiser ma glande le travail), une liste des trucs à faire dans la semaine pour avoir une meilleure vie, une liste d’objectifs à remplir à l’année (scolaire s’entend, l’année civile n’ayant aucun sens). Genre en septembre, ma vie elle en est là, à la fin de l’année, en juillet, faut qu’elle en soit là. (Dans mon esprit, je crois que la vie ça ressemble un peu à une partie de jeu de l’oie.) La merveille, c’est que ça marchait avec tout. Boulot, mecs, santé etc…
Evidemment, ma meilleure amie du lycée, appelons-la Az, était atteinte du même syndrome. En pire. Comparée à elle, j’étais une grosse guedin complètement wild. Et puis, cet été, elle m’a déclaré très solennement : « il faut qu’on arrête la planification ». Je l’ai regardée et après, j’ai éclaté d’un rire hystérique et des chauves-souris se sont envolées de mes cheveux. Arrêter la planification ? Mais t’es folle ma bonne amie ? Et pourquoi pas vivre au jour le jour aussi ?
Et là, elle m’a démontré que la planification avait failli foutre nosdites vies en l’air plus d’une fois. En l’occurrence, elle m’a dit « cette putain de planification m’a quand même amenée à rencontrer un prêtre italien pour préparer mes voeux pour mon mariage avec un garçon avec lequel je n’étais pas heureuse mais avec lequel j’avais planifié que je passerais ma vie ». J’ai hoché gravement la tête. Il est vrai que le problème de la planification c’est qu’en général, ce qui allait bien sur le papier en mars 2005 bah ça marche plus du tout en vrai en septembre 2006 (cherchez pas, c’est des dates au hasard, c’est pas les prochains numéros gagnants du loto, je suis pas non plus complètement barge, je vais pas vous les donner). Or l’amour de la planification peut vous pousser à refuser de voir une évidence qui vous forcerait à abandonner vos plans initiaux tellement qu’ils étaient beaux et bien prévus dans votre cervelas dégénéré.
Il se trouve que depuis quelques temps, je tente donc une expérience ultime : je vis sans plan. (Evidemment, cette affirmation péremptoire est à prendre avec des pincettes mais dans l’idée générale, c’est quand même ça.)
Et bin, je peux vous dire que c’est pas facile. Le seul avantage, c’est que ça dégage pas mal de temps libre (faire des listes prend un temps fou).
Mais comme je fais ça juste à titre expérimental j’ai évidemment prévu une date de fin. Le 31 décembre, je fais le point. J’ai fait une liste des trucs sur lesquels je ferai le point le 31. Y’a notamment « déterminer si la vie c’est mieux avec des plans ». (Re-coucou les étudiants en psychiatrie ! Ca va ? Vous kiffez bien ?) Bref. L’autre soir, Meilleur ami à qui j’expliquais fièrement ce brusque changement de philosophie m’a répondu (je le soupçonne d’être pas du tout convaincu par ma démonstration) : « en gros, t’es comme quelqu’un qui se promène avec un plan et qui décide de se perdre entre cette rue-là et celle-là ».
PWNED
On finit avec deux vidéos de mains pour amuser ses amis :
facebook
twitter
Quelque chose me rassure : je ne suis pas la seule à faire des listes…de listes (coucou les étudiants en psychiatrie, vous faites un tarif de groupe?). Ni à avoir des phases « vas y je me la joue freewoman et j’avance sans rien calculer à l’avance ».
A la réflexion, je ne sais pas si c’est rassurant. Mais c’est la force du « groupe » qui veut ça.
Quant à la définition que donne « Meilleur Ami », c’est bizarre, c’est du moi tout craché. « Alors le plan dit que… hum et si je passais là ». Parfois ça marche, parfois je pers 3/4 d’heure alors que je suis hyper à la bourre. Au moins je visite.
(et je réitère : oui oui oui liveblog ce soir)
le 12 novembre, 2010 à 18 h 51 minMerci de te coller au visionnage et live-blogging de toute cette real tv, j’en salive d’avance (et merci pour la consécration sur Slate de Jersey Shore, my very own favorite).
Hâte de lire ton bilan de la non-planification, ça m’aidera à décider si j’arrête ou pas…
le 12 novembre, 2010 à 18 h 52 minLe lapsus du titre ne fait qu’aggraver ton cas.
Tu doubles ta névrose d’un penchant pour le vin blanc de mauvaise qualité:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gros-plant-du-pays-nantais_%28AOVDQS%29
En ce qui concerne la planification, je pense que le 31 agit sur tout le monde comme le moment d’une remise en question suivi d’une dépression de circonstance (prière d’approuver, ça me rassurerait…).
le 12 novembre, 2010 à 19 h 06 min<>
Je crois que je vais beaucoup méditer cette phrase.
Des fois j’ai tellement confiance en mes planifications que je n’ose pas changer. Si je me rends compte que la plannification n’est pas optimal, au lieu de remettre les plans en cause, je culpabilise de ne pas réussir la planification prévu.
J’aime bien ce blog : j’ai l’impression d’être normal quand je vous lit.
le 12 novembre, 2010 à 23 h 27 mincoucou toi,
je n’ai pas reussi a lire l’article,
par contre balaises les videos en fin d’article !!
le 12 novembre, 2010 à 23 h 51 minBonsoir,
Je découvre votre blog… votre article sur « qui veut épouser mon fils » est épatant… vraiment très très drôle et très révélateur finalement de ce type d’émission…
J’espère que vous continuerez.
Au plaisir de vous relire et encore bravo
le 13 novembre, 2010 à 0 h 34 minNatacha : nous sommes donc mutuellement rassurées. Je ne suis pas la seule…
La Danoise qui dit pas sa couleur de cheveux : de rien! Mais c’est crevant comme exercice en fait. Avec en prime, deux collègues de slate par chats, et le technicien par sms et téléphone…
Florian : mais d’où tu connais un nom de vin pareil ? Le 31 c’est pourri. Je pleure à chaque fois. (Comme tous les ans d’ailleurs je ferai un post pour dire que ça me déprime.) Dans mon planning existentiel qui va de septembre à juillet, le 31 décembre, c’est un peu comme les élections de mid-term.
Anon : c’est un très beau compliment ça. Sincèrement. Et bien sûr, moi aussi je culpabilise avec la sensation d’avoir échoué dans ma planification quand je la modifie. Trahir le plan, c’est dur.
clemclem : coucou
julgml : Merci! Je pensais qu’il n’y avait que les lecteurs du blog qui avaient lu l’article. Ca marche donc aussi dans l’autre sens. Je vais continuer oui. Mais la prochaine fois, je bois.
le 13 novembre, 2010 à 0 h 45 min« – Manger du jus de Carotte »
Ha hum… manger du jus… = boire ?? :)
« expérience ultime : je vis sans plan »
Hugh, ça vaut aussi pour la 17ème lettre de l’alphabet ?
(oui, on est samedi tu n’as que ça à faire de décrypter les posts à la con d’un de tes lecteurs).
Ciao bella, on se r’vera à l’hôpital psy.
le 13 novembre, 2010 à 9 h 47 minUn plan, c’est fait pour etre changé. Il ne faut pas voir le plan qui décroche de la réalité comme un plongeon vers l’inconnu effrayant, mais plutôt comme une occasion de s’adonner a la joie de concevoir un nouveau plan.
Ah, pour info, ton dernier (excellent) article est une liste des émissions que tu as planifié de regarder.
le 13 novembre, 2010 à 11 h 15 mindésolé. cerveau planificateur 1 – 0 free woman.
La bonne nouvelle, c’est que si tu t’ingurgites vraiment toute cette télé réalité, je crois que tes neurones planificateurs n’y survivrons pas.
Étant un grand malade aussi, je me dois de partager ça. Voici la liste de mes listes :
http://wedontneedroads.net/post/687536471/my-life-through-lists
le 13 novembre, 2010 à 11 h 42 min[…] This post was mentioned on Twitter by Herve Le Duc, Papa Sentu.. Papa Sentu. said: Le Grosplantitiou et son Politburo http://bit.ly/auvxph […]
le 13 novembre, 2010 à 12 h 15 minJe suis breton, ceci explique cela. Tu veux que je t’en expédie une caisse pour accompagner tes live-bloggings ?
A ce propos, ton live-blog de « Qui veut épouser mon fils ? », c’est presque trop d’un coup. Ca me donne envie de croire à nouveau au Père Noël.
Un interlude musical de circonstance pour te soulager dans ton introspection: http://www.youtube.com/watch?v=P27r-DERSRo
le 13 novembre, 2010 à 12 h 24 minRichard : j’y avais même pas pensé mais t’as raison, j’ai fait un planning de live-bloguing. D’ailleurs, je me souviens que ça m’a donné beaucoup de plaisir.
Kevin : meta-liste = best list ever
Florian : OUI. Donc le live-bloguing, ça va ? Toi tu votes pour que je continue ?
le 13 novembre, 2010 à 12 h 41 minOui ! Cela dit, je ne promets pas de sacrifier mes virées au Duplex avec Nadine Morano toutes les semaines.
Cumuler « Qui veut épouser..? » et « La Maison du bluff » c’est quand même un péché de gourmandise, je m’inquiète sincèrement pour ton vestige de santé mentale…
J’attends avec impatience les produits dérivés Marie-France pour les offrir à ma famille à Noël. Au passage, tu vois Morticia, moi je soupçonne Xavière Tibéri de faire un come-back incognito.
le 13 novembre, 2010 à 12 h 52 minFlorian : je te préviens tout de suite, je te pique la vanne sur Xavière Tibéri au cas où je reblogue Qui veut épouser. (A la base, l’idée, c’était je live une fois chaque programme. Mais quand même c’est assez tentant de continuer cette émission là.)
le 13 novembre, 2010 à 12 h 55 minJe te cède gracieusement les droits.
le 13 novembre, 2010 à 13 h 05 minLa tentation est compréhensible, c’est quand même l’évènement médiatique de la fin d’année. C’est tout sauf un hasard si le combo « Qui veut épouser ..? »-« Confessions Intimes » occupe la moitié du Zapping de la semaine.
En te focalisant dessus, normalement le Pulitzer est dans la poche.
Titiou, ou la femme qui répond jamais à mes questions.
Dès que je trouve l’adresse de ta live meta-liste, je m’insert dedans (et j’attends le 31 décembre).
le 13 novembre, 2010 à 13 h 33 minScalpel : ah ah… C’est pas faux. Mais à chaque fois, je me demande « qu’est-ce que je peux lui répondre ? » et je trouve pas mais l’intention y est. (Faut aussi arrêter de m’appeler « bella », c’est un peu trop Twilight spirit.)
le 13 novembre, 2010 à 13 h 51 minJe veux juste poster pour la gloire, car je connais personnellement Florian( qui a gentiment posté ce lien sur mon mur FB) et je tiens à préciser que je suis son agent, et vu qu’après la une du canard local pour avoir osé la création d’un groupe FB sur sa ville, désormais ses blagues vont se trouver dans un live-blogging, je pense réclamer des droits 8-)
Au passage bonjour à tous \o/
le 13 novembre, 2010 à 14 h 32 minMoi vous m’épatez, parce que les listes, j’y arrive pas. J’en ai fait une dans mon netvibes en me disant que je la verrai, ça fait un an et demi qu’elle y est et j’ai toujours rien fait.
Je pense que c’est pour ça que ma vie stagne, globalement.
le 13 novembre, 2010 à 14 h 35 minChère Mademoiselle Lecoq,
je vous écrit pour m’insurger contre ce râteau de 1ère classe que vous avez infligé à mon fils Scalpel.
Une telle humiliation pour cet être si admiratif de Keanan et « Martine se fait tatouer en bas au milieu » est impardonnable à 1 mois de « Dieu notre Père qu’as-tu fais le 25 décembre ».
Si ses questions sont trop indiscrètes, faites-le lui comprendre en lui chuchotant « j’ai eu beaucoup de plaisir à te lire, mais le doute m’habite ».
Le pauvre, il est reparti à la cave nourrir ses punaises de Varsovie (très rare)… je compte sur votre sollicitude.
le 13 novembre, 2010 à 15 h 51 minEntre MILF nous saurons nous comprendre.
Bien à vous,
Faire des plans alors que tout est rond.(sphérique) .Fractal main: excellent. L’article de Slate: superbe. bonne nuit riemanienne.
le 14 novembre, 2010 à 3 h 00 minJ’aime qu’un plan se déroule sans accroc…
le 14 novembre, 2010 à 13 h 48 minHannibal Smith est une gonzesse… c’est toute ma jeunesse qui en prend un coup, et ma construction sexuelle aussi au passage…
Je suis surpris et choqué que la traduction erronnée de Wikipédia sur la méthode du Politburo soit reprise ici sans vérification aucune… à la grande époque, nos goulags se sont remplis pour moins que ça !
Il faut donc lire :
« Le Comité Central du P-cu et plus particulièrement son Bureau Politique (Poiloburo),donnait les ligne générales de la fornication. Le Poiloburo déterminait l’érection du Général à l’économie sur la baise des éducateurs sous contrôle (préliminaires objectifs), les projets d’investigation du majeur, et les tiques dans les poils de Monique, la femme du Général. Les directrices lascives étaient soumises aux rapports du godemiché ventral des congres du P-cu pour y être déparvées. »
De rien.
le 14 novembre, 2010 à 20 h 41 min* dépravées, évidemment…
(putain de Sibérie, les doigts qui gèlent sur le clavier…)
le 15 novembre, 2010 à 10 h 40 minDingue, je n’avais pas pensé à toute cette logistique! Mais bon, je t’envie quand même parce qu’au Danemark, on ne peut pas voir qui veut épouser leur fils… Les vidéos du site de TF1 ne marchent pas. J’essuie mes larmes avec mes cheveux roux ;)
le 15 novembre, 2010 à 12 h 51 minOn se croit tous (toutes? Ca arrive aux mecs?) un peu taré(e)s avec nos liste de listes et pourtant… Je connais un paquet de personnes saines qui sont dans la même galère de planification-pour-se-sentir-mieux que nous. (C’est parfois plus efficace qu’un journal intime.) Mais peut-être en connais-je autant car les faiseurs de listes s’attirent par une sorte d’inconsciente connivence. Je suppose que tu possèdes également ton carnet de listes et ton post-it de la semaine dans ton agenda que tu recolleras une page suivante dans sept jours.
le 15 novembre, 2010 à 13 h 45 minAh oui, d’ailleurs, pour les list maniacs, je conseille le magnifique http://www.daytum.com/ ou bien http://listography.com/ (ben oui, pas les deux, sinon les mecs, vous êtes VRAIMENT mal-barre).
le 15 novembre, 2010 à 15 h 01 minBonjour,
Par rapport aux listes, je viens de découvrir
work flowy (http://workflowy.com) qui risque sûrement d’être une gigantesque corde à laquelle se raccrocher en cas de problèmes Dérridiens ou se pendre.
j’utilisais déjà le programme Tomboy, étant un utilisateur de linux (d’ailleurs, je l’interroge si l’on peut vraiment être geek sans connaître Ubuntu, je ne suis pas sûr) mais workflowy à l’air assez sur-mesure pour toi.
-r
le 15 novembre, 2010 à 18 h 27 minQuel soulagement que de découvrir que je ne suis pas la seule à faire des listes des listes de mes listes ou à finir par les regrouper -dans un élan de catégorisation- dans un cahier par thématique et échéance allant de court terme (se laver les cheveux) à très long terme/plan de vie plus ou moins pathétique (arrêter les listes, aller voir un psy, être heureuse).
le 15 novembre, 2010 à 21 h 21 minSortons de l’ombre et découvrons nous des milliers.
Si tu écris sur tes mains, tu es mon âme soeur.
Merci et listement,
Y.
P.S: Si tu écris sur tes mains, tu es mon âme soeur.
Juste parfait
le 19 novembre, 2010 à 18 h 58 minUn live de prévu ce soir pendant qui veut épouser mon fils?
Yé : j’écris sur mes mains!! Les trucs importants à pas oublier. En général : « poster loyer »
Marine : Non. Je suis crevée, un peu malade. Mais mardi soir, je live A la recherche du nouveau Michael Jackson « que du bonheur tu vois »
le 19 novembre, 2010 à 19 h 03 minBonjour, Par rapport aux listes, je viens de découvrir work flowy (http://workflowy.com) qui risque sûrement d’être une gigantesque corde à laquelle se raccrocher en cas de problèmes Dérridiens ou se pendre. j’utilisais déjà le programme Tomboy, étant un utilisateur de linux (d’ailleurs, je l’interroge si l’on peut vraiment être geek sans connaître Ubuntu, je ne suis pas sûr) mais workflowy à l’air assez sur-mesure pour toi. -r
le 26 décembre, 2010 à 0 h 36 min[…] elle aussi a entrepris l’expérience douloureuse de se sevrer 1 mois et demi de sa manie… L’expérience ici. Le bilan là. Voyez le […]
le 2 janvier, 2011 à 12 h 46 mintoi qui aime le vocabulaire la premiere video des mains ca s’appel une structure fracale. c’est une structure qui reste la meme a toute les echelles. un exemple usuel est le choux romanesco.
le 14 janvier, 2011 à 20 h 34 minScalpel n’a sûrement pas eu l’air aussi débilos que moi en train d’essayer d’imaginer comment on pouvait « manger du jus de carotte »… bref, pitet c’est mieux que le boire.
le 25 mai, 2011 à 14 h 18 min