23 novembre 2011

Le bilan 2011 – part one /a le roman

Avant tout, à l’attention de mes copains profs et de ceux qui ont, un jour, été à l’école, sur Slate, on a co-signé une tribune avec une amie prof qui en chie. C’est ICI.

Tandis que le mois de novembre étend ses branches décharnées vers une fin d’année morose et sans neige (ouaip, j’ai décidé d’écrire chiant et mal), il est temps de se lancer dans un bilan thématique de mon année 2011.

Parce que 2011 c’était un peu MON année.

Putain mais ENFIN QUOI.

(Nota Bene à l’intention de Dieu : on peut savoir ce que t’as branlé pendant les 30 années précédentes ? T’avais perdu mon dossier ? Il avait été oublié dans une benne à ordures c’est ça ?)

Nous allons donc avoir le bonheur et l’émotion de passer en revue les moments forts de MON année. (Oui, je fais aussi dans le blog égotiste et je m’en fous parce que c’était MON année et que c’est aussi MON blog, et que je pense aux lecteurs qui suivent patiemment mes galères diverses et variées depuis 2008 et que ça serait pas très sympa de les exclure de mes satisfactions actuelles.)

Mais les satisfactions étant nombreuses (et accessoirement ma névrose des listes n’ayant toujours pas été réglée), on va faire ça par thème.

Part one donc : le roman. Partie elle-même divisée en deux. Donc voici le 1°) a/

MOUAHAHAHA… J’ai z’été publiée. Un peu comme Balzac ou Simone de Beauvoir. (Ou également Loana, Hervé Vilar et Christian Estrosi.)

Mais ce que vous brûlez de savoir c’est comment on atteint un tel succès ?

C’est très très simple.

D’abord, on prend un boulot à mi-temps, minable, sous-payé et avec un chef qui vous donne envie de vomir sur ses mains pleines de veines noueuses comme les arbres du mois de novembre qui s’étendent vers etc.

Ensuite, on se dit qu’on en a pour deux ans d’écriture et qu’en attendant, tiens, on va aussi ouvrir un blog.

Après, on essaie de pas trop écouter les gens qui, au bout d’un an où ils n’ont pas lu une ligne mais te voient transporter en permanence un petit cahier, te disent « je suis très inquiet pour ton avenir professionnel. Tu veux pas prendre un vrai travail ? »

Au départ, t’as une idée très précise de ce que tu veux faire. Ca va se passer dans un temps indéterminé, dans une ville imaginaire, pendant les championnat du monde d’un sport. Soit une durée de deux mois. T’inventes de A à Z un sport d’équipe. (Oui, j’ai fait ça.) Deux ans plus tard, le roman se passe en fait de nos jours, à Paris, pendant un laps de temps d’un an sans aucune compétition sportive.

Ensuite, tu fais lire à des gens triés sur le volet.

1°) tu fais lire la première version à la fille la plus sympa de Paris, aka Raphaëlle Leyris à l’état civil. Là, Raphaëlle te dit : « ton système énonciatif ne fonctionne pas. Il rompt le pacte de lecture. Faut que tu changes tout. » D’abord, tu trouves que finalement Raphaëlle est pas si sympa que ça. Ensuite, tu commences à lui expliquer qu’elle se trompe complètement, qu’elle n’a sans doute pas perçu que tu cherchais précisément à révolutionner l’énonciation romanesque.

Elle te répond « fais comme tu veux ».

Tu changes tout le système énonciatif.

Du coup, t’es obligé de réécrire tout le roman parce qu’au niveau du style, ça ne va plus.

2°) tu fais lire à ton coach la deuxième version. Dont tu sais qu’elle est parfaitement géniale et qu’il va s’évanouir d’admiration. Là, Coach te dit : « elle est bien ton intrigue politico-policère. C’est dommage qu’on n’y comprenne rien. » Cette fois, tu gagnes du temps. Tu abandonnes l’idée d’expliquer à Coach qu’il n’a pas bien saisi l’ampleur de ton génie et tu passes un mois à te demander pourquoi tes amis ne sont pas plus lucides quant à ton génie. Puis un mois à te dire que t’es une merde. Puis quatre mois à chercher comment refaire ton intrigue principale. Ensuite, tu réécris tout le roman.

3°) le roman est fini. Tu décides de mettre au point des stratégies pour le publier. En parlant à ton nouveau Chef, parce qu’entre-temps, t’es vaguement devenu journaliste, il te dit « tu veux pas que je le relise avant que tu le donnes aux éditeurs ? » Tu sens à plein nez l’arnaque venant du Chef qui retoque tous tes papiers. Mais comme t’as plus aucun égo, tu lui donnes quand même. Trois semaines plus tard, il débarque au café avec une version entièrement corrigée en rouge et t’explique : « ça fait beaucoup de pages ton livre. Faut enlever des adverbes. »

Après avoir donc tout réécrit trois fois, il ne te reste plus qu’à attendre la gloire, le cul sur le canapé. Accessoirement, tu attends aussi les réponses des éditeurs qu’on peut trier en 3 catégories :

1°) ceux qui te répondent que Cher monsieur, après une lecture attentive de votre manuscrit, nous avons le regret de vous annoncer que nous n’en avons pas de place dans nos collections pour votre ouvrage pourtant plein de qualités. (Là, où ça fait mal c’est quand la lettre commence par Cher monsieur, alors qu’en page 1 du manuscrit t’as foutu ton cv avec une photo de toi pour suggérer que tu étais prête à poser nue pour une éventuelle promo si besoin était.)

2°) ceux qui te répondent qu’ils ont absolument détesté, haï, honni ce manuscrit qui ne ressemble à rien, qu’on n’écrit pas trois livres en un et qu’on ne conjugue pas « foutre » à l’imparfait du subjonctif, et que même pas ils torcheront le bâtard de leur labrador avec. Sincères salutations.

3°) ceux qui te répondent que c’est pas mal, moui, pourquoi pas. On veut bien vous signer un contrat. Et vous expliquent qu’ils sentent que ça peut faire un excellent livre de plage pour les filles.

4°) tu rencontres Mama Mazauric et Charles et vous tombez amoureux. Tous les trois.

Charles 4EVER <3

Là, enfin, tu peux retourner à ton canapé en attendant le coup de téléphone de ta banquière qui viendra s’aplatir d’excuses pour n’avoir pas cru en toi avant. (Alors oui hein, quand t’es publié, tout de suite, tu penses à tous les gens qui un jour t’ont fait chier, par exemple cette pute de Mathilde Bréchet en 4ème, et tu te dis que ça va leur faire une belle jambe. C’est seulement après que tu réalises que 1°) ils ne sauront sans doute jamais que t’as sorti un livre. 2°) ils n’ont aucun souvenir de t’avoir humilié il y a dix ans. 3°) Du coup, ils seraient même capables d’être contents pour toi de ce qui t’arrive.)

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42 commentaires pour “Le bilan 2011 – part one /a le roman”

  • Preums!

    Il manque un peu de chat cet article… mais néanmoins mes sincères félicitations pour autant de persévérance et de courage durant ces deux années qui t’auront permit de finir ton bouquin et d’être publié! ;)

    le 23 novembre, 2011 à 16 h 25 min
     
  • Salut Titiou !
    Je viens de finir le dit ouvrage sus cité….félicitations !!
    J’ai vraiment aimé les personnages ainsi que ton système énonciatif(tant critiqué) et ton style d’écriture(aussi acide,acerbe que juste et frais) ! Par contre, ma consommation de vodka pomme risque de dangereusement augmenter….
    Pour finir de t’encenser ;), tu as une idée du prochain ? et de la date de sortie ?
    Bonne continuation sur le web et sur papier ;)
    En espérant de RElire prochainement !

    le 23 novembre, 2011 à 16 h 32 min
     
  • Tu te rend compte bien sur que ça va être insoutenable d’attendre la suite pendant 1 moi? (3 semaines si on a de la chance :D )

    le 23 novembre, 2011 à 16 h 35 min
     
  • Une année qui ressemble à une consécration, entre le roman, les pages dans des magazines (dont Glamour quand même, genre, LE mag de filles quoi). Les Morues ont leur place sur mon étagère, après que je les ai lues et appréciées à leur juste valeur. Bon courage pour les deux mois qui restent :)

    le 23 novembre, 2011 à 16 h 49 min
     
  • Manu : Merci! En fait, on est plus proche de 3 ans et demi de travail au total… Je suis très lente. Je sais. Mais j’ai aussi consacré beaucoup de temps à trainer sur internet et à mater la télé.

    Ccil : :) bah alors le prochain… je compte bien deux ans de boulot encore. Rendons grâce à Raphaëlle, elle avait raison pour l’énonciation. Au début, j’avais fait un truc super compliqué avec les personnages qui parlaient directement dans des notes de bas de page.

    Nico : nan mais je vais essayer de poster plus vite là. (Bonne résolution.) Sinon, effectivement, ça n’aura pas de sens.

    le 23 novembre, 2011 à 16 h 54 min
     
  • Nombre Premier : Sauf que la photo dans Glamour aurait plutôt tendance à ternir cette année…

    le 23 novembre, 2011 à 16 h 55 min
     
  • Comme quoi l’egotrip ca marche : je me suis encore bien marree devant ta (hum… votre ?) prose.

    Ah, et en fait j’ecrit surtout pour dire que j’ai fini le bouquin la (j’avais trop la classe avec dans le metro tokyoite (ouais j’me la pete, et alors ?)) et que je ferais bien des commentaires pour qu’il soit reecrit une 4eme fois mais bon… je vais plutot le relire et l’offrir a ma BFF pour Noel a la place.

    le 23 novembre, 2011 à 17 h 00 min
     
  • « J’ecris »… arg.

    le 23 novembre, 2011 à 17 h 00 min
     
  • Je me rappelle de Mathilde Bréchet en 4è, c’te conne… je l’ai vue la semaine dernière à un arrêt de bus, elle lisait un Marc Lévy.

    le 23 novembre, 2011 à 17 h 22 min
     
  • Ah ben j’allais dire que les réponses des éditeurs ça ressemblait vachement aux réponses aux candidatures de boulot où le mec répond à ta candidature SPONTANEE en t’envoyant un mail avec un pdf en PJ marqué « vous ne correspondez malheureusement pas au profil du poste ».
    Quel poste ??

    Mais en fait la majorité de mes candidatures se finissaient tout simplement en non réponses = silence absolu, l’entreprise n’existe plus chhhht pas la peine d’appeler.

    Or, aucune de tes catégories d’éditeurs ne te répond pas, c’est déjà ça !

    le 23 novembre, 2011 à 17 h 24 min
     
  • CONGRATS !

    le 23 novembre, 2011 à 19 h 08 min
     
  • dans deux ans tu auras le goncourt et ils s’en mordront les doigts ceux qui t’ont refoulé

    le 23 novembre, 2011 à 20 h 03 min
     
  • Moi je l’ai lu sur la plage LE roman, ça fait de moi une lectrice indigne?
    Bon, sinon, en bonne groupie, j’ai fait un article sur l’article:
    http://parisphnompenh.wordpress.com/2011/11/24/comment-je-ne-suis-pas-devenue-une-ecrivain-ratee/

    (Note que j’utilise une mise en abyme dans ce commentaire, histoire de prétendre que j’utilise communément des figures de style quand je m’exprime à l’écrit. Et ouai.)

    le 23 novembre, 2011 à 20 h 24 min
     
  • Bon alors moi j’ai pas lu le livre mais je lis tous les articles du blog et de Slate, ça compte quand même ?

    Et en récompense pour TON année : http://30.media.tumblr.com/tumblr_luh6s4NF9t1qdz6jro1_400.jpg

    le 24 novembre, 2011 à 0 h 36 min
     
  • J’ai acheté ce fameux roman pour l’anniversaire de ma mère.
    Du coup, je ne l’ai pas (encore) lu, et ma mère non plus pour l’instant. Au moins si elle aime pas, je pourrai dire que c’est de la faute des tes connaissances.

    le 24 novembre, 2011 à 0 h 40 min
     
  • Je proteste.
    Il m’est rien arrivé de tout ça, et cette débauche de réussite est indécente.

    Reviens Titiou.

    Merde.

    le 24 novembre, 2011 à 0 h 45 min
     
  • Cheveux attachés, lunettes de soleil, col remonté, appareil photo ! tu es aussi détective privé à temps partiel ??? :)

    le 24 novembre, 2011 à 2 h 06 min
     
  • 3 ans pour écrire ce pavé c’est pas mal. D’ailleurs penses-tu qu’un « étude l’œuvre – les morues » sera bientôt disponible au rayon livre de leclerc.

    le 24 novembre, 2011 à 7 h 55 min
     
  • Titiou!!!
    Je me décide enfin à commenter, me joignant au concert de louanges, même si : – une nouvelle série d’articles c’est bien mignon mais reste souple, j’ai pas encore fini de dévorer le blog; – j’ai pas encore lu le bouquin (je l’ai réservé, je l’attends maintenant avec d’autant plus d’impatience que rien que le fait de conjuguer « foutre » à l’imparfait du subjonctif ça valait le coup de l’écrire (et de le lire, donc);
    et parce que je voulais de toutes façons te louanger à un moment ou à un autre : merci pour le blog qui constitue ma monomanie du moment et a failli (deux fois) me coûter un blâme; Merci de faire copuler joyeusement grande culture et bonne déconne, comme je me targue d’être cultivée et con, ce blog me parle; Merci enfin de faire partie de ces gens lucides qui parviennent enfin à théoriser ma génération : je me suis reconnue dans tellement d’articles qu’il eut été redondant que je foutisse des coms partout. (yeah j l’ai casé \o/). Jusqu’aux morues, d’ailleurs (nous on a un surnom tellement débile que non, j’le mets pas ici). Voilà. Ca fait du bien de s’épancher en mode groupie.

    le 24 novembre, 2011 à 13 h 03 min
     
  • J’aurais bien juste écrit « je t’aime » mais ça aurait fait bizarre pour un premier commentaire posé sur ton blog. Tu devrais être égoïste plus souvent parce que d’habitude tes postes me font marrer ( quand c’est le but hein…) mais là il me fait carrément du bien. Comme un épisode de Friends où tu te sens proches d’eux parce qu’à 26 ans ils boivent des cafés tout le temps et n’ont pas trouvé leurs voies… ( Bon toi tu trimes quand même, les cafés c’est sympas mais bon, leader price, tortellini toussa…). Moi j’ai lu « Les Morues » et je l’ai aimé! Les intrigues, les persos, les trucs drôles, les moins drôles, la petite part de noirceur, tout! (Sauf la couverture … fallait bien un truc…) Bref, je l’ai aimé (oui aujourd’hui j’aime).
    Tout ça me rassure,non pas parce que si tu l’as fait tout le monde peu le faire, mais plutôt que tu as pris des risques et que le résultat en valait la peine…

    Et merde à toutes les Mathilde Bréchet du monde ^^

    le 24 novembre, 2011 à 14 h 38 min
     
  • Il est pas mal ton article, mais on voit pas bien où tu veux en venir.
    Tu devrais le ré-écrire en remplaçant la plupart des conjonctions de subordination par des prépositions laxatives et / ou des pronoms relatifs.

    le 24 novembre, 2011 à 15 h 23 min
     
  • Excusez-moi Titiou, mais je lis votre blog depuis fort longtemps (d’ailleurs j’en profite pour vous avertir que d’ici un mois, vous aurez re-le droit de faire la blague des ptérodactyles qu’on aperçoit par la fenêtre). Je tenais à vous féliciter pour la publication de votre roman, et aussi, je voulais vous demander si vous écriviez pour ce site ? http://www.lappartdesgrecs.com/

    J’ai cru reconnaître votre style

    Merci de votre réponse !

    Bien cordialement,
    Canadou

    le 24 novembre, 2011 à 15 h 23 min
     
  • Vraiment, j’aime bien ton blog.

    Très bien l’article-témoignage sur l’évaluation des profs.

    J’espère que tu vas cartonner avec ton bouquin.

    le 25 novembre, 2011 à 12 h 18 min
     
  • C’est totalement faux.
    J’ai dit : « Hum pas mauvaise cette quiche lorraine. Au fait, elle est bien ton intrigue politico-policère. C’est dommage qu’on n’y comprenne rien. Je prendrais bien un tiramisu »

    le 26 novembre, 2011 à 1 h 12 min
     
  • même quand tu écris mal tu écris bien; bon courage pour la suite, discerner les choses, les gens et l’avenir tels qu’ils sont.

    le 26 novembre, 2011 à 22 h 24 min
     
  • Alors c’est également la première fois que je m’égare ici (oui : suite de suite de suite de lien…) mais le premier article a su se rendre désirable…m’a fait du pied. Comme j’ai l’oreille qui dresse facilement me voici attentif. Et c’est tout à fait agréable! Écriture fluide et amusante, presque ludique.
    Et puis cet avenir est tout simplement fantasmatique… Hé! Qu’y puis-je?

    Et maintenant je me demande pourquoi j’ai utilisé un lexique si sexuel…

    Enfin le but était simplement de féliciter l’auteur d’être parvenu à la publication et de demander si éventuellement un extrait était présent sur ce blog pour me faire une idée plus précise. =)

    le 27 novembre, 2011 à 2 h 02 min
     
  • Hello Titiou, j’ai une question, puis une autre et enfin une autre :

    à lire cet article on dirait que l’envie d’écrire un roman t’a prise soudainement en te levant un matin, mais qu’en est il vraiment ? Y as tu pensé pendant longtemps ?
    Qu’est ce qui t’a donné l’envie de dire « je vais écrire un truc brb dans 3ans bye » ?

    le 27 novembre, 2011 à 19 h 07 min
     
  • Can i haz part two ?

    le 28 novembre, 2011 à 22 h 42 min
     
  • Oui, je me suis fait la même réflexion, Canadou…

    le 29 novembre, 2011 à 10 h 47 min
     
  • Mon premier comm. A l’heure du bilan!

    Je ne serai pas très original: le roman est très bien. C’est vraiment un des meilleurs livres de cette année. J’attends que tu deviennes célèbre et millionnaire pour revendre mon exemplaire dédicacé. En attendant il me permet de briller en société.

    Sinon je me suis mis à lire le blog dans l’ordre car je suis encore un n00b concernant G & G. Et c’est dur de décrocher: consequences will never be the same.

    le 29 novembre, 2011 à 20 h 18 min
     
  • Oh, purée, elle en parle…
    http://facebook.com/mathilde.brechet

    Glop glop !

    Nan, je déconne :-)

    le 1 décembre, 2011 à 3 h 54 min
     
  • Pardonnez mon intrusion quelque peu triviale mais faudrait voir à nous pondre le « Part one/ b » ou même la « Part two » parce ça fait une semaine et demi que j’ai fini de lire cet exquisse de bilan 2011 et je dois dire que j’ai bien envie de buter celui qui trouve que « l’attente est la moitié du plaisir » (d’ailleurs j’me buterai bien d’écrire ça).

    Suffirait pas qu’on finisse de lire le bilan 2011 pour que 2012 s’achève…

    Quoi ? Moi, exigeant ? Pff !

    le 2 décembre, 2011 à 16 h 04 min
     
  • Fatalement … Sinon j’ai eu le choc de ma vie en regardant le 20’12 avec en fin la chronique de … titiou lecoq :p

    le 2 décembre, 2011 à 23 h 40 min
     
  • Moi je parie pour part one \ b l’encyclopédie.

    le 3 décembre, 2011 à 12 h 17 min
     
  • L’année n’est pas terminée et …

    le 4 décembre, 2011 à 16 h 38 min
     
  • Viens à l’instant de finir « les morues », que j’ai trouvé dans la mini-annexe du réseau litérraire de mon mini-village. Elle est peut-être là, la véritable consécration : être accessible même aux bouseux(ses)(dont je ne suis pas peu fière de faire partie)!
    Me suis régalée! encore!

    le 6 décembre, 2011 à 17 h 31 min
     
  • C’est vrai Titiou pour l’Appart des Grecs ?

    le 8 décembre, 2011 à 10 h 16 min
     
  • Bonjour !

    j’ai entendu dans une interview que vous disiez adhérer à une idée selon laquelle on ne peut pas devenir écrivain si on étudie la littérature (j’ai entendu cela il y a longtemps, je m’excuse donc par avance si j’ai modifié la thèse d’origine !). Pourtant vous avez écrit ; et il me semble que votre connaissance des procédés d’écriture n’a pas été totalement inutile à l’aboutissement de votre roman (ex : révision complète du système d’énonciation). Alors… est-ce que vous pensez quand même ce que vous avez dit ? (je me trompe peut-être, encore une fois !) Et si oui… pourquoi ? (je serais d’instinct plutôt en désaccord avec cette idée, mais je serais curieuse de savoir pourquoi certains ne le sont pas)

    J’ai écrit comme un pied et je suis quasiment sûre que ce n’est pas clair, mais si ça l’est un peu, alors à bientôt peut-être par le biais d’une réponse !

    le 8 décembre, 2011 à 23 h 18 min
     
  • Tu est désormais célèbre dans le monde entier, un article du Monde parle de l’Encyclopédie de la web culture et nous apprend que l’ancêtre du troll est le Janot

    Voir par ici => http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2011/12/10/le-janot-ancetre-du-troll_1617085_3236.html

    le 10 décembre, 2011 à 15 h 50 min
     
  • Et je viens de faire exporter le premier ouvrage de Titiou Lecoq, hors de nos frontieres hexagonales ! Titiou á toi la République Tchéque et… heu l´Europe enfin quoi !

    le 13 décembre, 2011 à 16 h 05 min
     
  • :)

    le 29 décembre, 2011 à 16 h 17 min
     
  • Roman extra! Moi je veux faire le film!

    le 1 mai, 2012 à 14 h 09 min
     

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