14 juin 2009

Des moins jeunes

Quand je vois la déco de la salle d’attente de mon gynéco, je me dis « heureusement qu’il n’est pas proctologue ».

Julie F. regarde la fenêtre de mon futur appart dans mes rêves.

A la boum de Raphaëlle (une des filles les plus merveilleuses de Paris, rappelons-le), il y avait des garçons qui dansaient. Pas des garçons qui faisaient semblant de se dandiner du bout des hanches en vue d’attirer l’attention d’une potentielle partenaire sexuelle. Non-non, des mecs qui dansaient vraiment pour s’amuser.

Surtout un, en fait.

Du coca light…

Où je découvre que le Social Club n’a toujours pas réglé son petit problème d’aération.

Où je me rappelle que c’est un club pour les 17/22 ans et que les quelques vieux qui s’y aventurent se regroupent autour du bar pour s’excuser d’exister (et éventuellement tenter de pécho de la minette).

« Tu sais, j’ai horreur d’être pris en photo. »
Mais bon… Je sais bien que de tout ça, « tout ça » désignant ma vie rappelons-le, vous vous en contre-fichez. J’ai parfaitement conscience que la seule chose qui motive la majorité d’entre vous à revenir ici c’est l’espoir d’avoir des nouvelles du Loris que nos coeurs ont adopté pour la vie.
Et bien, sachez que vous ne vous êtes pas connectés pour rien aujourd’hui. Le loris is back. En réalité, c’est une femelle qui vit en Russie. Et dont nous découvrons qu’elle est presque aussi mignonne quand elle mange que quand elle se fait gratter les aisselles.

P.S. : ô mon dieu… En revoyant cette vidéo, je viens de réaliser que le regard et les gestes du loris en train de bouffer me faisaient étrangement penser à ceux de feu ma grand-mère (à l’époque où elle était gâteuse et où tout ce qui l’intéressait était d’attraper des biscuits). RIP mamie.

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