8 septembre 2011

Mon premier salon du livre

Bonjour mes petits amis, c’est la rentrée, youpi, troB1. Jetons aux orties de l’eau du bain avec mémé cet été pourrave.

Certes, j’ai encore du boulot en retard avant de reprendre un rythme de posts de croisière (ouais, c’est pas correct comme formulation mais je m’en fous, maintenant je suis écrivain, ça me donne de facto le droit d’écrire comme une brelle). (Je sens que c’est mes chefs qui vont super contents de ma nouvelle posture d’écrivain à qui on touche pas une syllabe sinon ça reviendrait à défigurer la littérature française, puisque désormais je fais partie de ce beau patrimoine.)

Donc. C’est la rentrée ce qui, tous les ans, provoque chez moi la même réaction : le besoin frénétique de dépenser des sous en achat de vêtements. Sauf qu’évidemment, cette compulsion n’est que mascarade. Dans le fond, ce dont j’ai vraiment envie c’est une nouvelle trousse, et un nouveau cahier, et un cartable. Et qu’on me donne mon emploi du temps, et de voir qui il y a dans ma classe.

Putain… c’est tellement triste la rentrée sans emploi du temps…

Heureusement, j’ai une nouvelle personne dans ma vie, chargée de me communiquer mon planning. (Quand on est élève, on a un emploi du temps, quand on est grand on a un planning.) Cette personne s’appelle Julien V., c’est le commercial du Diable Vauvert. Quand Julien m’a envoyé mon planning, j’ai râlé, comme tous les élèves.

Ca n’a servi à rien. Comme pour les élèves.

Le julien-planning, en fait, c’est les dates de signatures et les salons auxquels je dois participer. (J’ai failli écrire « assister » mais ça aurait trop beau que j’ai juste à y assister.)

Donc le week-end dernier, j’ai fait mon premier salon en tant que primo-romancière. En Suisse. Au bord d’un lac. Lac = angoisse. Le lac comme la rivière sont des étendues d’eau servant à noyer des gens qui n’ont rien demandé. C’est pas le petit Grégory qui me contredira.

J’appréhendais fortement la chose parce que :

1°) Donc lac = petit Grégory

2°) la Suisse. Un pays trop calme pour être honnête.

3°) Comme d’hab. Etre enfermée loin de chez moi, sans possibilité de fuite, avec des gens que je ne connais pas et qui s’attendent à ce que je sois aimable avec eux voire même que je leur parle, ça m’angoisse.

Dans le train, je me suis retrouvée à côté d’un confrère (comme on dit dans ces cas-là) à qui j’ai réussi à ne pas adresser la parole pendant 4h de trajet. A ma décharge, il lisait ça :

Je me suis demandée si tous les gens du salon étaient des gros intellos, mais plus tard j’ai croisé Jean-Pierre Coffe et Jean-François Kahn. Après, j’ai appris que mon voisin était également journaliste et là, ça m’a rescotchée deux fois plus fort. Un journaliste qui lit Hume, c’est un peu comme si un mec du bidonville de Calcutta mettait ses pots de yaourts dans la poubelle jaune. Et pourtant… Ca m’a d’autant plus impressionnée que Hume, c’est vraiment le philosophe au sujet duquel tu peux pas faire semblant d’être calé. Avec Hegel ou Kant, tu peux toujours essayer de bluffer vite fait. Avec Leibniz, ça commence à être compliqué. Avec Hume, c’est pas la peine, je suis même pas foutue de citer le titre d’un seul de ses bouquins… alors un de ses concepts…

Donc, mon voisin était plongé dans son Hume et pendant ce temps, moi, je lisais Mimi Cracra se fait sodomiser. Du coup, j’essayais de planquer un peu la couv.

Mais j’ai vite abandonné ma lecture, ayant trouvé un objet de fascination pour les 3h restantes. Parfois, il suffit d’un minuscule détail du quotidien pour que je rentre dans une transe qui oscille entre l’envie de m’uriner dessus de plaisir et celle de taper dans mes mains en agitant hystériquement mes longs cheveux. (Après, je m’arrache quelques mèches, je les roule en boule et je les mange.) Ce jour-là, ce détail, c’était CA :

Ce monsieur, très aimable au demeurant, avait presque assorti ses chaussettes et son pantalon. La raison de ma fascination réside dans le ‘presque’. Selon l’éclairage, l’ensemble était parfaitement identique (comme ci-dessus) et par moment, plus tout à fait :

En plus, il y avait la texture de la chaussette qui paraissait crémeuse comme des œufs en neige. (Nota Bene : ne jamais se risquer à une comparaison alimentaire quand on n’y connaît que dalle en cuisine.) J’avais très envie de me lever et d’aller les caresser. Je me donnais des coups de coudes à moi-même, et je hochais la tête en souriant avec une hystérie légèrement teintée de béatitude. Un peu comme si on avait chatouillé Sainte Thérèse de Lisieux. A côté de moi, Hume a commencé à trouver ça bizarre. Et puis, il a sorti un traité sur la Doctrine nominaliste rédigé en araméen.

Plus je regardais ces chaussettes, plus je m’excitais. Finalement, j’ai craqué, et j’ai sorti mon appareil photo qui n’est pas du tout, mais alors vraiment pas du tout, discret. Et j’ai mitraillé les chaussettes. Hume a fait semblant de ne rien voir. Ce qui était fort poli de sa part, assez british en fait, et en prime pas évident vu le bruit de déclenchement de mon appareil.

Hume en plein travail. (Je triche, cette photo-là c’est dans le train de retour, on était face-à-face. En fait, le festival avait décidé qu’on serait copains de transport, et je ne peux que les en remercier parce que Hume est un compagnon tout simplement parfait.)

Dans le train donc, heureusement, qu’il y avait la présence rassurante de Hume et les chaussettes parce que sinon, c’était affreux. A un moment, y’a une meuf roussexydée (subtil croisement entre rousse et peroxydée) qui me demande mon ticket et mon nom. Je lui tends mon ticket sur lequel était noté mon nom. Je me suis dit que ça m’épargnerait de lui épeler t-i-t-i-ou. La poufiasse me répond « mais j’ai besoin de votre nom aussi ». Je lui fais remarquer que c’est écrit sur mon billet et là, elle me dit « non mais moi je suis éditrice hein, pas hôtesse d’accueil ». Personnellement, j’ai été hôtesse d’accueil.

J’ai eu très envie de lui dire que moi et mes camarades hôtesses d’accueil on lui conseillait d’aller brûler en enfer avec son coloriste démoniaque.

A la place, je me suis replongée dans Mimi cracra se fait sodomiser. (Un titre qui ne manquera pas de m’amener de belles requêtes Google.)

Ensuite… bah ensuite la Suisse. Comment vous décrire Lausanne ? En fait, c’est simple. C’est une ville de politique-fiction. C’est un peu comme si Jospin avait été élu en 2002. 0 sdf. 0 racaillou. 0 handicapé à moignon qui font la manche.

Mais en sortant de la gare, on tombe quand même sur ça :

Alors ok. Nous aussi en France on a des affiches de ce genre. Mais elles sont collées à l’arrache, la nuit, sur des murs décrépis. C’est jamais de grandes affiches officielles encadrées à des arrêts de bus.

Le journal du matin ressemble à ça :

Les gens sont d’une honnêteté effrayante. Au café, vous pouvez laisser votre iPhone sur la table pour aller pisser. Vous serez d’accord pour conclure qu’un tel sentiment de sécurité est plutôt flippant.

Ensuite… le salon. Le samedi matin, en bonne élève, j’arrive en avance à ma table. Et là, enfer et damnation, je vois une pile de Kata-Sutra qui m’attendent. Mais merde quoi… Cela eusse pu me faire plaisir si Jacob-Duvernet l’éditeur nous avait un jour donné nos sous. Par exemple, à la date prévue sur nos contrats. Là, on vient de contacter un avocat quand même. Donc l’apparition des Kata-Sutra c’était de l’ordre du choc traumatique.

Sur le principe même du salon, j’ai décidé d’attendre d’en avoir fait au moins deux avant de juger. Et peut-être même d’en faire un papier si par miracle il y a des choses à raconter sur le sujet.

Pour l’instant, je peux dire que dans un salon, il y a des moments de solitude intérieure qui ressemblent à ça :

L’auteur inconnu reste fier dans sa solitude

En vrai, extérieurement, ça ressemble plutôt à ça (toutes les photos suivantes ont été prises depuis ma chaise sans trucage) :

Ce que je voyais devant moi donc. Je vous rappelle que ça a duré deux jours.

Quand tout le monde vous tourne le dos, ça donne un peu l’impression d’être une pute unijambiste dont aucun client ne veut. Surtout quand à votre gauche, le reste de la table ressemble à ça :

Et que vous et votre livre, vous avez droit à ça comme regard :

Heureusement, Hume est passé me voir à ma table. (Peut-être parce qu’il avait compris que ma santé mentale était branlante.) Et un garçon est venu m’offrir des chocolats parce que j’avais dit à la radio suisse que j’avais peur de venir chez eux et que je voulais du chocolat. (Enfin… il parait que j’ai dit ça mais j’en ai aucun souvenir.)

Mais finalement, hormis ma rencontre avec Hume, si je devais retenir une image de ce périple, ça serait cette pub. Même si je suis un peu triste de penser qu’il n’y aura jamais un meuble à mon nom.

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64 commentaires pour “Mon premier salon du livre”

  • Ca devait être.. Magistral comme voyage.
    Je t’assure que si une séance de dédicace rencontre avec lecteurs ou étudiants à Rouen t’intéresse l’accueil sera différent.
    Tu n’auras peut-être pas Hume à côté de toi dans le train, mais il n’y a qu’une heure de voyage. De plus il n’y aurai pas d’auteurs attirant plus de monde ni en face ni à gauche puisque nous n’invitons qu’une personne à la fois.
    Tout ça en précisant que nos derniers meilleurs amis sont des roumains avec qui on prend l’apéro (on a arrêté depuis qu’on a vu qu’ils donnaient la bière offerte aussi aux enfants)
    Oui, ici on sait flatter et attirer nos jeunes auteurs!

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 03 min
     
  • Peter : le problème c’est que là, le julien-planning m’a calé des dédicaces à peu près tous les week-ends jusqu’au 15 décembre… (Faut voir avec le Diable.) Mais effectivement, je pense que les rencontres en librairie c’est beaucoup moins humiliant que les diabolique salons du livre.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 07 min
     
  • et sinon, ou c’est qu’on pourra faire dédicasser son exemplaire de le roman dans la région parisienne ?

    PS: j’ai l’impression que sur le 2eme de couverture on t’a photoshopé la fossette.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 09 min
     
  • Je contacterais le Diable cet après midi (en même temps avec une maison d’édition nommée le Diable.. Il ne fallait pas s’attendre à signer des autographes au jardin d’Eden )
    Attention Librairie, c’est bien. A Rouen on peut aussi faire ça dans des cafés, bars/pubs, galeries de pierre. Et ce n’est même plus par soucis de ‘non-conformités’ comme certains nous l’ont fait remarqué, c’est juste tellement plus simple que les circuits traditionnels.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 24 min
     
  • C’est sur que venir se taper le salon du livre à Morges un weekend ou le temps est pourri, c’est pas le top…

    Ca fait chier que tu fasses ton artiste inapprochable maintenant que t’as écrit un livre, du coup tu préviens personne et t’arrives en Suisse sans comité d’accueil digne de ce nom, exemplaires dédicacés à la clé. Et surement plus de boites de chocolat !

    Parce qu’en vrai, Lausanne est plutôt une ville sympa, ambiance jeune, étudiante et internationale, même si le sentiment de sécurité peut choquer des Parisiens. Bon, ça n’est pas non plus une ville sans SDF ni mendiants, c’est sur que ça n’est pas Paris (mais ça doit pas être si loin d’une ville française en province)…
    En tout cas rien qui justifie les affiches de l’UDC (le parti d’extrême droite) dont la charte graphique fait très « Allemagne 1930 »: http://goo.gl/95g5q. Malheureusement, le budget de ce parti étant largement supérieur au total des autres, il domine le débat politique en Suisse avec des discours populistes qui passent bien auprès des lecteurs du « Matin »… Surtout quand on sait que l’immigration en Suisse est en général très qualifiée et est une des causes de la bonne situation économique de la Suisse.

    Pour ré-écouter les « bêtises » que tu dis à la radio: http://goo.gl/J8jMm (ça débute vers 1 h 40 je crois, un peu plus tard pour la demande de chocolats)

    Tu reviens quand ?

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 32 min
     
  • En y regardant d’un peu plus près, la chaussette en arrière-plan n’entoure pas le bas du pantalon comme son homologue gauche. Une asymétrie qui en rajoute au lol de l’accord imparfait des tons.
    TGV + deux jours de salon du livre, ça donne le temps de méditer sur des sujets WTF ?
    En tous cas, savoir s’ennuyer, je trouve ça beau.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 35 min
     
  • Concernant les lacs et rivières que dame Nature nous a livrés, le petit Grégory et son anorak rouge gardent effectivement un souvenir mitigé de leur séjour dans la Vologne.
    Quant à la Suisse,je suis rassurée de savoir qu’à Genève « les dealers ont la belle vie », ça met du baume au cœur !

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 51 min
     
  • 1) pour ton iPhone sur la table du bistrot, t’as eu du bol, parce que c’est VRAIMENT pas le paradis anti-voleurs. (me suis fait ramasser deux fois mon porte-monnaie dans un bus, à Genève)
    2) pour l’affiche de merde… UDC de merde. Le parti suisse dont tout le monde aimerait se défaire, mais ces cons tirent leurs idées et propagandes de tellement de mouvements différents qu’on y arrive tout simplement pas. Ils vont du centre à l’extrême-droite, ce qui fait qu’ils ont beaucoup de partisans. Et curieusement, la plupart du temps, leurs partisans sont les habitants des cantons du centre de la Suisse, venant de la Suisse profonde et qui ont donc rarement vu un étranger sur leur seul. C’est navrant.
    3) fait iech profond de t’avoir loupée ! j’aurais dû mieux me renseigner :) je t’aurais apporté du chocolat bien de chez nous et j’aurais sodomisé la vieille qui regardait ton bouquin de travers avec mon parapluie.

    Une lectrice suisse, née à Genève et qui hante maintenant le canton de Fribourg….

    ps : pas de meuble à mon nom non plus, j’ai même pas besoin de vérifier pour le savoir.
    pps : tu reviens quand ?
    ppps : je possède une caricature faite par Barrigue, de mes zingues, en train de dézinguer le matin pour sa misère éditoriale.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 52 min
     
  • « sur leur sol »
    « de mes zigues »

    Je retourne me coucher.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 53 min
     
  • Et ils se rendent pas compte, ces vieux politiciens et leurs vers de terre de publicitaires, qu’ils collent la honte à tout le pays avec leurs affiches à la con ?
    J’ai honte que la première chose qu’on voie en sortant de la gare de Lausanne soit ça. Enfin, c’était peut-être le but, sûr qu’ils auront pas envie de s’attarder ces ‘profiteurs d’immigrés’.
    Enfin, la performance sur Couleur3 était amusante, ça nous change des auteurs établis et de leurs prestations fumeuses mille fois entendues et réentendues.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 57 min
     
  • Je l’avoue, je m’attendais à un post sur Ce soir ou Jamais, et puis non. Je vais de ce pas noyer mon chagrin dans du poisson pané.

    le 8 septembre, 2011 à 12 h 57 min
     
  • Hume ? Comment peut-on oublier un philosophe avec un nom aussi bête ? (Yiouuuuum yiouuuum!)
    C’est le pote à Locke qui s’engueulait avec Descartes, si ma mémoire est bonne, et je devrais pouvoir en dire beaucoup plus vu que c’est pertinent en philo des sciences. Chut.
    Iooooouuum !

    le 8 septembre, 2011 à 13 h 07 min
     
  • Tu l’as sans doute déjà écrit et je suis donc passée à côté… : y aura t-il des dédicaces sur Paris (autre que salon du livre) ?

    le 8 septembre, 2011 à 13 h 20 min
     
  • Pour les meubles, c’est pas évident non plus pour moi ; ça ne doit pas concerner beaucoup de monde je pense.
    C’était ton premier salon, au moins tu auras des éléments de comparaison, la prochaine fois.
    Le Nord-Est t’attend les bras grands ouverts, avec ou sans chocolat ! ;)
    T’étais super chez Tadei, à côté de Lydie Salvayre !! :)

    le 8 septembre, 2011 à 13 h 58 min
     
  • Moi qui me surprenais parfois à rêver de devenir écrivain afin d’avoir la possibilité de vivre seule dans une forêt ou au sommet d’une montagne sans avoir à me justifier auprès du reste de l’humanité… je réalise en lisant ton post qu’en fait c’est tout le contraire: je serais obligée de passer de funestes weekends dans des villes louches, entourée de fétichistes des chaussettes. Dieu merci, en plus d’être incroyablement flemmarde, je n’ai aucun talent. OUF…

    le 8 septembre, 2011 à 14 h 15 min
     
  • Est-ce qu’on pourrait avoir tes dates de dédicaces à Paris la semaine prochaine ? J’y suis (et c’est rare) à partir de mercredi et je voulais de toutes façons me procurer ton bouquin. Merci.

    le 8 septembre, 2011 à 14 h 23 min
     
  • Rouen c’est bien ! Comme Peter, viens dc te faire chouchouter au lieu de te faire bouder par des gens 1.0!

    le 8 septembre, 2011 à 14 h 26 min
     
  • Sinon il est bien le Lydia Lunch ? Ca fait un moment qu’il faut que je lise ses bouquins.

    le 8 septembre, 2011 à 15 h 14 min
     
  • Sans public, tu as donc échappé aux ampoules sur le majeur et l’index.
    Par contre, si tu publiais ton planning sur ton site, je pense que nous nous organiserions pour que tu aies des gens présents sur ton stand et du coup faire de la pub, sourire, t’apporter chocolats, cafés, bières, etc.
    Bonnes dédicaces futures donc

    le 8 septembre, 2011 à 15 h 28 min
     
  • Tiens, en parlant de livres, ça me fait penser que je viens de recevoir « Les Morues » …

    le 8 septembre, 2011 à 15 h 34 min
     
  • j’attends avec impatience ton post sur la foire du livre de Brive et la descente « gastronomique » en train ;-)
    Prépare ton spasfon
    Juste pour savoir, il est accessible ton planning, que l’on puisse savoir où te croiser?

    le 8 septembre, 2011 à 15 h 51 min
     
  • Macé-Scaron et Wolinski. Voilà j’ai gagné au jeu de « Reconnaître les auteurs qu’on connaît sur la photo » et j’ai gagné le droit de revenir la semaine du prochain post.
    La la itou la la itou (c’est suisse).

    le 8 septembre, 2011 à 16 h 27 min
     
  • J’ai vérifié elle va à Landerneau et à Besançon. Entre autres.

    le 8 septembre, 2011 à 16 h 47 min
     
  • C’est pas Macé-Scaron sur la photo « à côté » ?

    le 8 septembre, 2011 à 16 h 56 min
     
  • Si je te dis que tu apparais dans le dépliant publicitaire « Les meilleurs livres de la rentrée, coup de cœur des vendeurs Leclerc » ça te fait rêver ?
    Je veux bien les dates de tes dédicaces dans le sud-est, je me ferai un plaisir de venir te voir.

    le 8 septembre, 2011 à 18 h 07 min
     
  • Love u Titiou !

    le 8 septembre, 2011 à 18 h 10 min
     
  • Pour info, le spot udc que l’on peut voir en ce moment au cinéma :

    http://www.youtube.com/watch?v=6JBONp8UT4M

    Sympa, surtout pour les films en VO bien fréquentés par les expats.

    le 8 septembre, 2011 à 18 h 49 min
     
  • T’es toute seule à ton stand parce que tu dis pas à tes lecteurs c’est quand et c’est où qu’on peut se faire dédicacer ton livre !

    le 8 septembre, 2011 à 19 h 03 min
     
  • Quand on ne peut pas aller en Suisse, on peut toujours visiter le site Au Diable Vauvert, rubrique Auteurs, lettre L.
    On y trouve une grande et belle photo… ainsi que des belles feuilles.
    C’est comme si on y était!

    le 8 septembre, 2011 à 20 h 30 min
     
  • Mais :'(
    Je comprends pas pourquoi tu voulais éviter d’épeler ton nom vu que tu avais dit que c’était pas ça ton vrai non, je suis perdue !
    Et il y a quelque part où on peut connaitre les dates de dédicaces ?

    le 8 septembre, 2011 à 20 h 53 min
     
  • J’ai bossé à une époque avec Yves Michaud, je n’ai pas lu ses livres mais à l’oral, il s’exprime très simplement et clairement ! lol Peut-être en est-il de même de ses livres, dont celui-ci où il parle de Hume. C’est pas du Hume, c’est du Michaud qui parle de Hume. D’où le fait qu’un journaliste peut peut-être le lire (Menfin j’en sais rien hein!) LOL

    le 8 septembre, 2011 à 21 h 44 min
     
  • C’est sûr que « Mimi Cracra se fait sodomiser » fait un peu tache à côté du bouquin sur Hume. « Spinoza encule Hegel » aurait été plus dans le ton.

    J’ai l’impression que tu te fais quelques idées fausses sur la Suisse. Une étude récente nous apprend que la Suisse se situe au dessus de la moyenne européenne pour le nombre d’agressions et d’effractions. Ta première impression était la bonne. Les gens sont peut-être plus réservés mais pas plus honnêtes. Ton iphone a eu beaucoup de chance.
    Pour achever de te convaincre que tu as eu raison d’avoir peur de venir en Suisse, l’affiche que tu as vu est la plus soft de l’UDC, le premier parti de Suisse en nombre d’électeurs. Leur affiche des moutons blancs qui expulsent un mouton noir a été reprise par les néo-nazis allemands et il y en a eu une autre où les étrangers sont des rats.

    le 8 septembre, 2011 à 23 h 20 min
     
  • @Vil Railleur: Mace-Scaron, il est pas vraiment auteur, il est plagiste.

    Enfin, intertextualiste, au temps pour moi.

    le 8 septembre, 2011 à 23 h 39 min
     
  • Parfois le destin fait mal les choses (même souvent). Ca doit être la première fois que je laisse un commentaire sur ce blog que je suis et affectionne depuis bien longtemps mais je devais témoigner de ma frustration ! Oui car écrire pour dire que tout est beau c’est chiant alors que le malheur du hasard c’est plus poétique.

    Bref, je découvre à l’instant même que tu es venue en Suisse (mon agréable pays patriotique et docile à souhait) même à Lausanne (ville où je réside de nouveau depuis peu) afin de faire des dédicaces. Pourquoi n’ai-je pas été mise au courant plus tôt ?! SCANDALE ? (comment ça je ne suis pas le centre du monde). Blague à part cela me peine de ne pas avoir eu l’occasion de pouvoir te rencontrer IRL comme disent les jeunes. Car mardi soir j’ai commandé ton livre « Les morues », chez Amazon car il est hors de prix en Suisse, en apprenant qu’il était sorti à cause d’une vidéo de Mademoizelle.com (comme quoi ça sert). En outre mardi soir j’ai vu ton dédain face à Debré sur Ce soir ou Jamais à côté de mon cher professeur de l’ENS Eric Fassin. Et quoi ? Là j’apprends qu’autrement que ces images impersonnelles j’aurais pu te rencontrer voir te toucher (non j’exagère je ne supporte pas le contact physique avec les étrangers) ou te sentir (j’aime bien l’aspect psychopathe). Je serais peut être apparue sur ce blog avec un sourire ébahi en tenant le livre kata sutra signé par Mme Lecoq !

    Oh désespoir ! OH Damnation… Bon j’arrête pour la dramaturgie

    Sinon ta remarque sur le sentiment de sécurité en Suisse m’a fait beaucoup rire car une étude (de je ne sais où) désire démontrer que l’on serait autant en insécurité en suisse qu’ailleurs en Europe et là je dis « mouahahhaha »… Ridicule lorsque l’on a passé un tant soit peu de temps hors de ce pays pour réaliser qu’une île déserte est plus dangereuse pour un être humain (surtout les phacochères faut se méfier de ces bêtes là) que la Suisse.

    Hmmm Hmmm Mise à part ça on a des gens de gauche aussi en Suisse faut pas croire ! Sauf qu’ils sont en minorité et ne prennent pas le temps d’expliquer au votant moyen pourquoi interdire la construction des minarets c’est pas très bien..

    Bonne soirée ! (J’ai l’impression d’avoir perdu ma virginité en déposant mon empreinte ici)

    le 9 septembre, 2011 à 0 h 22 min
     
  • Ah attention, les pots de yaourt ne doivent pas aller dans la poubelle jaune mais dans la noire : ils sont non-recyclables ! Même les Indiens savent ça !

    le 9 septembre, 2011 à 10 h 08 min
     
  • Plus un seul chat, chaton ou bête mignonne en scrollant la page…
    Peut être que c’est ça la morosité, la quenelle et le salon du livre…

    je vote pour que tu en réintègres sur ton blog ;)

    le 9 septembre, 2011 à 10 h 29 min
     
  • En fait, ça doit être flippant de devenir « auteur à salon »…

    Grisant et flippant.

    Sans compter qu’avec le blog en plus ça doit faire un drôle d’effet de positionnement entre l' »envers soi » et l' »en dehors de soi » (les guillemets, ça fait concept, j’aime bien)… Heureusement, il n’y avait pas trop de lecteurs du blog apparemment…

    En tout cas, bon courage, je t’aime bien.

    le 9 septembre, 2011 à 10 h 42 min
     
  • Dommage que tu nous en ais pas parlé avant, on serait bien passé moi et ma tendre et chère pour faire dédicasser nos bouquins, étant genevois ET lecteurs assidus de ton blog.

    L’affiche sur l’immigration FTW, d’ailleurs :

    11:03 ELLE A PRIS EN PHOTO MON AFFICHE
    11:04 ELLE A PRIS EN PHOTO MON AFFICHE

    Madame en était toute retournée ce matin :D.

    Amicalement,

    le 9 septembre, 2011 à 11 h 11 min
     
  • On ne peut que te donner raison : »la Suisse. Un pays trop calme pour être honnête ». Cette suspicion s’applique aussi aux gens : toujours se méfier des gens qui sourient tout le temps, des gens trop gentils et trop sociables (c’est tout simplement pas humain d’être débonnaire).
    Je fais remarquer ton passage à l’émission de Taddeï cette semaine, tes interventions étaient très bien. En plus t’étais assise à côté d’éric Fassin, le dieu de la sociologie, trop la classe (j’suis un peu jalouse). Vous avez tous rendu ridicule bernard Debré, c’était jubilatoire.
    Sur ce, bonne rentrée !

    le 9 septembre, 2011 à 11 h 18 min
     
  • Et dire que y’a des gens qui vont faire exprès d’avoir des bébés et de les appeler WOODLINE ou OAKLINE juste pour avoir un lit à 50% du prix initial ça me fait vomir !

    Sinon en Suisse t’aurais pu demander qu’on t’amène des petits, ça aurait été drôle non ?

    le 9 septembre, 2011 à 11 h 21 min
     
  • David Hume (1711-1776)
    Bonjour,
    Au fond de mon caveau où je me les gèle, je suis très flatté d’être un (des) héros involontaire de ce blog. Effectivement, j’étais (en esprit) au salon du livre de Morges le week end dernier. J’y ai rencontré Titiou L., lui ai acheté son livre, l’ai lu et n’en pense que du bien. Drôle et bien foutu dans son savant négligé.
    Par ailleurs, je confirme que je suis un auteur très chiant à lire. Le type en photo dans le train ayant laissé dans sa chambre d’hotel le livre de Michaud à couverture rouge, on me dit qu’une femme de chambre en fait profiter ses copines et qu’un cercle humien s’est formé à Lausanne. Ces dames voudront bien excuser la tache de sperme page 23.
    Pour le reste, je ne peux qu’adresser à l’auteur cet extrait de lettre de Descartes à son ami Isaac Beeckman :
    « Aimez-moi et soyez certain que je pourrai pas plus vous oublier que les Muses elles-mêmes. Ce sont elles, en effet, qui m’ont attaché à vous par le lien d’une affection qui ne saurait finir ».
    so long!
    David Hume (prononcer « youme » svp)

    le 9 septembre, 2011 à 11 h 48 min
     
  • bonjour,

    j’aime bien rire à midi.
    et à toutes les autres heures de la journée aussi.
    mais midi c’est quand même bien.
    alors merci.

    fendons ensemble la poire de l’amour,
    laura.

    pourquoi laisser des commentaires pertinents quand on peut tout simplement écrire n’importe quoi…

    le 9 septembre, 2011 à 12 h 22 min
     
  • Si ça peut te consoler, au Livre sur la Place, l’année dernière à Nancy, y’avait pas foule non plus autour de Thierry Roland. Rassurée ?

    le 9 septembre, 2011 à 13 h 20 min
     
  • Parce que la promototion peut aussi consister en entretien
    http://www.bibliosurf.com/Interview-de-Titiou-Lecoq. Puis tu pourrais la jouer Pinchon d’abord ! Ce julien-planning là, rien, un scribe, le voisin plus de nouvelle et la libido ?

    le 9 septembre, 2011 à 15 h 28 min
     
  • je t’ai vu chez taddei dans ce soir ou jamais sur france 3 tu aurais pu t’habiller un peu plus sexy pour égayer un peu cette emission tu aurais dû voir mara goyet (ecrivain)chez taddei en décembre 2010
    je pense qu’à genève cela t’aurais servi
    également à t’attirer plus de gens
    essaie une fois pour voir
    bonne chance

    le 9 septembre, 2011 à 18 h 03 min
     
  • J’espère que les chocolats étaient bons, mais surtout qu’ils avaient gardé leur forme sous cette tente «micro-onde». Quant à moi, j’ai dévoré votre roman (je vous avais promis de laisser un petit mot sur votre blog). Difficile de dire quelque chose d’intelligent en 500 signes, mais le livre est une superbe réussite. Dans l’interview que Laurent met en lien, une des dernières questions est «Tant au niveau du sexe que du boulot, on pourrait écrire que tout finit par rentrer dans l’ordre. N’y-a-t-il pas d’autres voies pour votre génération que la normalité?» Je ne suis pas du tout d’accord avec cette constatation et la réponse (qu’aurait voulu entendre le journaliste) découlant de la question. Les situations qui se dessinent (à la fin) n’indiquent en rien un retour à la normalité. Et comment cela se pourrait-il, puisque lecteurs, personnages et – j’imagine – auteure, se pose la question «qu’est-ce que la normalité?». Et, j’ai l’impression que le fait même de poser cette question fait voler en éclats toutes possibilités de réponses… Bref, je m’arrête là sur le roman, car j’ai peur de laisser échapper quelque chose qui gâterait l’expérience des futurs lecteurs, que je souhaite aussi géniale que la mienne (surtout que je n’ai pas placé en tête de mes lignes une «alerte gâcherie»). Ah oui ! Sur une autre note, je me réjouis de voir un-e écrivain-e qui utilise des incises entre tirets, car c’est Beau !

    Merci de ces impressions de la Suisse. Y vivant, il est parfois salutaire de se voir à travers l’étonnement de quelqu’un. Ça fait maintenant quelques années que l’UDC (rappel, UDC= union démocratique du CENTRE (ce qui me fait poser la question de savoir si ce qui est à gauche de ce CENTRE est vraiment à gauche)) doit travailler avec les mêmes graphistes, ce qui nous donne ces affiches aux couleurs si «pures»; d’ailleurs, la proportion de rouge, noir et blanc me rappelle vaguement des fanions qui faisaient füreur il y a une soixantaine d’année. Peut-être me trompé-je ? Le logo UDC en bas à droite de l’affiche (légèrement différent, stylisé : un soleil content agitant un drapeau suisse sur des verts prés faSSon géant vert) jure un peu avec ces couleurs, mais bon ce n’est apparemment ce qui entrave la progression du parti. Même le front national français envie l’UDC (quant à savoir s’il envie l’argent du parti ou notre apathie, ou les deux ou autre chose) et, rien que d’y penser, j’ai la nausée.

    C’est vrai que pour les touristes sortant de la gare, c’est du plus bel effet.

    Merci encore pour la dédicace (elle m’a fait très plaisir). Et au risque de me répéter: réchauffez vous avec les compliments, ignorez les critiques, votre premier roman est trop bien pour ne pas continuer à «romancer»…

    le 9 septembre, 2011 à 19 h 29 min
     
  • Pas encore lu le roman (cela ne saurait tarder) mais cet article est génial, l’un des meilleurs depuis un petit moment, selon moi. Bravo !

    le 10 septembre, 2011 à 17 h 06 min
     
  • Tout à fait d’accord avec Guillaume! On se désespère complétement de pouvoir lire un autre de tes articles avant d’être gâteux, à moitié crevé dans notre chaise roulante, et toi, tu viens à Lausanne, dans notre ville, sans prévenir?! Quelle honte, Titiou…

    le 11 septembre, 2011 à 11 h 12 min
     
  • titiou!! tu passes à vivement dimanche en direct :) enfin ton bouquin ;)

    « c’est un roman jouissif, libre » et michel il a dit: « ah oué »

    le 11 septembre, 2011 à 19 h 06 min
     
  • Bon, Titiou, les salons du livre c’est bien beau (en plus en Suisse sont pas comme nous hein ?), mais parle nous un peu plus de DSK, vu qu’à la télé officielle yahvé que les mecs qui en causaient le plus, z’auraient pu te laisser davantage de place les fumiers…

    le 11 septembre, 2011 à 19 h 29 min
     
  • J’avoue et j’assume.
    Ton blog est tellement bien référencé que si on Google « Mimi cracra se fait sodomiser » et bien on tombe sur ton blog.

    GG.

    le 12 septembre, 2011 à 0 h 03 min
     
  • Chère Tititou de Beauvoir,

    Je ne suis qu’un pauvre inculte (j’ai fait des études scientifiques et n’ait donc pas l’esprit khâgneux !), mais ne dit-on pas « brêle » voire « brèle » ?

    Sinon, j’espère qu’un jour un ethnologue prendra la peine de faire une synthèse sur les récits des « pôvres » parigots obligés de sortir de leur quotidien ethnocentré !

    En ce sens, bon courage pour la visite à Besançon (et attention de ne pas sortir de la ville, car sinon, là il y a carrément risque pour la santé : spécialités culinaires non achetables sous vide chez Franprix, animaux bizarres avec cornes et tâches brunes dans d’étranges étendues vertes, ustensiles de Noël mais beaucoup plus grands, pas en plastique et sans guirlandes et boules, accent bizarre mais pourtant pas typé « wesh bâtard », discos branchées répondant au doux nom de « bal champêtre », gamines qui ne s’enivrent pas avec quelques mojitos mais qui se mettent minable en enfilant les caisses de bières d’égal à égal avec les mecs etc…
    Welcome to the Jungle, baby !

    Marrant aussi de voir Lausanne décrite comme on décrirait une bourgade de suisse alémanique (c’est plutôt très français comme bled, et l’on y croise volontiers la jeunesse locale – qui s’emmerde comme toute jeunesse qui se respecte – déambuler largement alcoolisé).
    Juste, le niveau de vie moyen leur permet de viser plus haut que la Bavaria et les portables au rabais, il est vrai…

    le 12 septembre, 2011 à 7 h 41 min
     
  • Une auteure, un livre, des canards, des lecteurs, des fans, des fidèles, des disciples, la vie de Brian. Os court.

    le 12 septembre, 2011 à 10 h 31 min
     
  • « L’auteur inconnu reste fier dans sa solitude » : c’est trop beau! Tu es fière car ce que tu vois dégage une image de fierté? Je trouve ça très poétique. Bravo.

    le 13 septembre, 2011 à 22 h 53 min
     
  • …ou alors l’auteur de la photo est le sujet lui-même…

    le 14 septembre, 2011 à 11 h 05 min
     
  • Un joli papier dans le Canard Enchaîné du jour, à propos des « Morues », de Titiou Lecoq… Félicitations !

    le 14 septembre, 2011 à 13 h 26 min
     
  • O tempora O morues!

    le 14 septembre, 2011 à 15 h 01 min
     
  • Avec une morue, on s’les caille ou pas? euh?

    le 14 septembre, 2011 à 18 h 16 min
     
  • Deux décisions: 1. je vais aller voir de ce pas ce qu’il en est de votre livre « Les Morues »: je viens de chez M. Francis Richard, qui en dit de fort belles choses. Et il n’est pas seul à en parler sur la blogosphère.

    2. Et je vais aller voir s’il y a un meuble à mon nom chez MiCasa.

    Salutations de Suisse!

    le 15 septembre, 2011 à 10 h 19 min
     
  • Chez les Morues, le masculin de Brandade c’est Brandon?

    le 16 septembre, 2011 à 15 h 31 min
     
  • Grands Dieux, tu m’as fais pleurer de rire. Surtout les chaussettes.

    le 18 septembre, 2011 à 22 h 20 min
     
  • Je suis si triste, Titiou, que tu sois venue chez moi et que je n’en aie rien su (j’t’ai même pas vue au festival à Morges et pourtant j’y suis passée, oui oui!). Je t’aurais offert un burger de chez Holy Cow et présenté les 17 mendiants que je croise chaque matin en allant bosser. Oui oui, 17. Au centre de Lausanne. Même qu’ils sont tellement indéboulonnables que quand un manque à l’appel on se fait un peu de souci pour lui.

    le 21 septembre, 2011 à 17 h 01 min
     
  • « C’est un peu comme être un gosse fan de Mickey, aller à Disney et découvrir un Mickey géant en mousse avec une seule expression de visage. DECEPTION. »

    Ca sent l’autobiographique là, non?

    le 23 septembre, 2011 à 8 h 26 min
     
  • Après m’être poêlé à lire le blog hier aprem, je suis passé acheter le livre à la sortie du taf (j’ai donc atteint mon maximum d’achat de livre cette année). Je n’ai pas été déçu, je me suis bien marré, tellement bien, que j’ai pas réussi à le lâcher avant d’en engloutir la moindre de page, je l’ai donc dévoré en une soirée. C’était tellement improbable que je puisse lire plus 10pages sans faire autre chose, que je tenais à le dire ;-))) Ayant loupé Lausanne et voulant féliciter tout les auteurs, je ferais un effort pour descendre (ou monter) à la Capitale un de ces jours^^, car j’imagine qu’avec le souvenir mémorable que vous avez eut de cette ville (ça se comprends ^^), je pense pas qu’on vous reverras de si tôt dans le coin.

    le 6 octobre, 2011 à 10 h 07 min
     

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