30 septembre 2008

Seconde Chance – part two

Mais tout cela n’est que très anecdotique. Il y a deux points essentiels dans Seconde Chance.

Primo, ça valide ma thèse de la conquête du monde par les MILFS. Après avoir été relativement inexistantes pendant des siècles, ce qui perso m’allait très bien, les MILS sont partout. Evidemment, Sarah Palin, la Nadine Morano américaine. Et désormais donc Alice Lerois avec son air de Sainte-Nitouche qui donne envie d’aller la prostituer à Bogota.


Enfin… Tout le monde ne partage sans doute pas mes tendances sadiques.

Deuxio, j’ai une nouvelle détestation nommée Jonathan Demurger.

Et là, arrêtons-nous une seconde sur ce sujet d’une folle importance. Dans Betty, j’avais été sidérée (positivement) par le personnage de Justin (le neveux de Betty). Mais dans Seconde Chance je suis prête à lancer tout de suite une pétition pour la mort dans d’horribles souffrances du fils de l’héroïne. Jonathan Demurger. (allez jeter un coup d’oeil sur son site officiel, vous remarquerez que le fond bleu n’est pas sans rappeler le bleu des yeux de Jonathan).

Certes il est beau.
Mais c’est pas sous prétexte qu’on a des sourcils très bas près des yeux qui donnent un air pas content que ça dispense de jouer la comédie. Lui, ça va pas être possible.
Je sais, c’est moche de se moquer d’un jeune acteur et il serait plus courageux de s’attaquer à des stars reconnues. SAUF QUE, à l’heure actuelle, je ne vois aucun acteur capable de m’exaspérer autant que ce môme. C’est surement un gentil garçon, peut-être même un être humain comme vous et moi (mais ça j’en doute un peu quand même) mais c’est simple, à chacune de ses apparitions sur mon écran de télé, je fais une crise de psoriasis.
Je pense qu’il pourra remporter haut la main le Gérard du plus mauvais acteur de télé – une catégorie où pourtant la concurrence est rude.

A sa décharge, il est pas aidé par les scénaristes qui, visiblement, ont décidé de ruiner sa carrière – et peut-être même sa vie sociale pour les 20 ans à venir. A la fin du deuxième épisode on pressentait quand même vaguement que ce lycéen en sports-études allait avoir un problème de drogue. Or, depuis l’addiction au crack de Cricri d’amour dans Hélène et les garçons, il me semblait qu’une loi était passée interdisant catégoriquement aux scénaristes télé français de traiter ce genre de thèmes. Le massacre est à suivre.
partager ce post sur: facebook | twitter |

 

 

2 commentaires pour “Seconde Chance – part two”

Poster un commentaire